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Du bois nous revenions, par une nuit profonde Et nous allions rêver par le même chemin Nous souciant fort peu s’il existait un monde Car nous n’étions que deux et le ciel pour témoin.
Refrain
Puis je disais alors à ma belle au cœur tendre Demain sous les bosquets loin des regards jaloux Quand sonnera minuit seul j’irai vous attendre ? N’allez pas oublier l’heure du rendez-vous. (bis)
Le vent souffle léger, les peupliers superbes Balançaient dans les airs leurs feuilles reverdies Les mains pleines de fleurs nous marchions sur l’herbe Le serpolet rampant nous servait de tapis.
On entendait au loin dans la brise sonore Le chant des montagnards s’élever jusqu’aux cieux Le merle tapageur ne sifflet pas encore Loin des sentiers perdus étaient les amoureux.
Voici le temps des fleurs qui sont à peine écloses Du printemps le zéphyr venait la rafraîchir Nous retirant alors la plus petite chose Qui nous parlait d’amour grandissait l’avenir.
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