|
Tout en revenant de Paris J’ai rencontré la bergerette (bis) Hélas mon dieu quel joli chant Elle ressemblait aux hirondelles, Au rossignol dans le printemps.(bis)
Un jour je lui ai demandé Voulez–vous être ma maîtresse Vous qui êtes la fille d’un prince Et moi le fils d’un grand seigneur Si vous-voulez mademoiselle, Je serai votre serviteur. (bis)
Si mon serviteur vous étiez Vous n’iriez jamais à l’armée Car tout garçon qui va à l’armée Est en grand danger de mourir En s’éloignant de sa maîtresse, En s’approchant de l’ennemi. (bis)
A l’armée oh ! oui j’irai Vous en aurez de mes nouvelles (bis) Par un messager ou bien par deux Ou par le rossignol sauvage Le messager des amoureux. (bis)
Le messager n’a point manqué De lui apporter la nouvelle Bonjour mon aimable bergère Je suis venu expressément C’est votre amant qui vous embrasse, Et vous souhaite le bonjour.
Je vous en remercie monsieur Prenez les clefs de ma cassette (bis) L’or et l’argent qui est dedans
C’est pour passer la mer courante, Et tout le long de l’océan. (bis)
D’or et d’argent je n’en veux point J’ai une plume sur la tête (bis) Qui vaut plus de deux cent mille francs ? C’est pour passer la mer courante, Et tout le long de l’océan. (bis)
|