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Derrière chez nous/chez moi, il y a une montagne
Moi, mon amant, nous la montons souvent.
Pour la montée il y a beaucoup de peine
En descendant mille soulagements, (bis)
« Accorde-moi, ma charmante maîtresse.
Accorde-moi un peu de liberté.
Quelle liberté veux-tu que je te donne ?
Tous mes parents n’ont défendu d’aimer. » (bis)
Le mal d’amour est une maladie.
Le médecin ne peut pas la guérir.
Derrière chez nous le rossignol y chante
Soir et matin à la pointe du jour, (bis)
Et il nous dit dans son charmant langage :
« Les amoureux sont souvent malheureux ! »
J’irai mourir dans un lieu solitaire,
Derrière chez nous sur un coin de rocher, (bis)
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