|
De bou mati me’n soy lhébade (bis) Enta l’aiguete me’n soy anade. (bis)
Arrepic
Si lou milou gayou (bis) Si lou milou gué (bis) Tranlaladerai, tranladeriderai Cante lou gay roussinhoulet.
Enta l’aigueta me’n soy anade (bis) Mon bèt amic que m’y a gahade. (bis)
Mon bèt amic que m’y a gahade (bis) Que m’a prése, m’a embrassade. (bis)
Que m’a prése, m’a embrassade (bis) Dessüs l’erbete m’a pausade. (bis)
Dessus l’erbete m’a pausade (bis) Plouricouse me’n soy lhebade. (bis)
Plouricouse me’n soy lhebade (bis) Ailàs qu’èy a dise aus de case. (bis)
Ailàs qu’èy a dise aus de case (bis) Que l’ayguète s’èrea troublade. (bis)
Que l’ayguète s’ère troublade (bis) Lou roussinhou s’y a trempât l’ale. (bis)
Lou roussinhou s’y a trempât l’ale (bis) Que de nau mès nou’n serà clare. (bis)
Que de nau mès nou’n serà clare (bis) Ni d’autan mey serà (e)stiglade. (bis)
|
|
De bon matin je me suis levée
À l’eau je suis allée.
Refrain
Pas de signification particulière...
Le « milou » est le « milan »
Tranlaladerai, tranladeriderai
Chante le gai rossignolet.
À l’eau je suis allée
Mon bel ami m’y a retrouvée.
Mon bel ami m’y a retrouvée
Il m’a prise, m’a embrassée.
Sur l’herbette il m’a posée.
Pleurnicharde je me suis levée.
Hélas que dois-je dire chez moi ?
Que l’eau s’était troublée.
Le rossignol y a trempé son aile.
Que de neuf mois elle ne sera pas claire.
Et d’autant plus elle ne sera étincelante.
|